Verdict, Justin PEACOCK
Un roman judiciaire qui tient ses promesses.
Les polars traditionnels s’arrêtent souvent là où le coupable est arrêté. Mais après viennent les avocats et c’est un tout autre boulot qui commence. Victime ou coupable, chacun a le droit d’être défendu et, pour les avocats de la défense, il faut la jouer finement.
Joel Deveraux avait tout du jeune lion en passe de gravir les échelons d’une grande boîte d’avocats d’affaires à New York. Mais un penchant un peu addictif pour une substance prohibée et la mort par overdose de l’une de ses collègues vont mettre un terme brutal à ses espérances ; obligé de démissionner, il se retrouve tout en bas de l’échelle du prestige des hommes en robe : avocat commis d’office.
C’est ainsi qu’il est amené à seconder Myra, autre avocate pour qui ce poste a du sens et de l’importance, dans une affaire de meurtre ayant pour cadre le milieu du petit trafic de drogue d’une cité de laissés pour compte. L’accusé clame son innocence et le travail de ses avocats sera de démontrer aux jurés qu’il n’est pas le coupable que les apparences et les témoignages semblent désigner. Car plus que de se montrer défenseur de la vérité, l’avocat doit avant tout être un champion de la persuasion.
Un très bon suspense dans ce roman judiciaire (pas certain, comme le dit la couverture, que l’on puisse parler de "thriller") qui a comme principale originalité d’être extrêmement bien construit sur le plan juridique (américain). L’auteur, lui-même avocat, aborde presque son roman comme un documentaire sur le métier et, surtout, sur les situations morales et éthiques auxquelles sont confrontés ses pairs.
L’intrigue est efficace, les personnages crédibles et on ne reprend son souffle qu’une fois le bouquin refermé.
Allez, hop : sous le sapin !
Un libre lu dans la cadre d’un partenariat organisé par Blog-o-Book (que nous remercions, comme d’hab !) et Sonatine.
Les avis de Canel, de Manoes et de Pikkendorff.
Un roman judiciaire qui tient ses promesses.
Les polars traditionnels s’arrêtent souvent là où le coupable est arrêté. Mais après viennent les avocats et c’est un tout autre boulot qui commence. Victime ou coupable, chacun a le droit d’être défendu et, pour les avocats de la défense, il faut la jouer finement.
Joel Deveraux avait tout du jeune lion en passe de gravir les échelons d’une grande boîte d’avocats d’affaires à New York. Mais un penchant un peu addictif pour une substance prohibée et la mort par overdose de l’une de ses collègues vont mettre un terme brutal à ses espérances ; obligé de démissionner, il se retrouve tout en bas de l’échelle du prestige des hommes en robe : avocat commis d’office.
C’est ainsi qu’il est amené à seconder Myra, autre avocate pour qui ce poste a du sens et de l’importance, dans une affaire de meurtre ayant pour cadre le milieu du petit trafic de drogue d’une cité de laissés pour compte. L’accusé clame son innocence et le travail de ses avocats sera de démontrer aux jurés qu’il n’est pas le coupable que les apparences et les témoignages semblent désigner. Car plus que de se montrer défenseur de la vérité, l’avocat doit avant tout être un champion de la persuasion.
Un très bon suspense dans ce roman judiciaire (pas certain, comme le dit la couverture, que l’on puisse parler de "thriller") qui a comme principale originalité d’être extrêmement bien construit sur le plan juridique (américain). L’auteur, lui-même avocat, aborde presque son roman comme un documentaire sur le métier et, surtout, sur les situations morales et éthiques auxquelles sont confrontés ses pairs.
L’intrigue est efficace, les personnages crédibles et on ne reprend son souffle qu’une fois le bouquin refermé.
Allez, hop : sous le sapin !
Un libre lu dans la cadre d’un partenariat organisé par Blog-o-Book (que nous remercions, comme d’hab !) et Sonatine.
Les avis de Canel, de Manoes et de Pikkendorff.
Pour ma part, je suis dans le dernier Ellory, Sonatine aussi : Dieu que c'est bon !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ce que fait Sonatine mais celui là ne me tente pas, malgré tout le bien que j'en ai lu/entendu !
RépondreSupprimerJe pense que je me laisserais tentée!!
RépondreSupprimerMerci de citer mon blog. Je me suis permis de faire le lien sur le votre.
RépondreSupprimerVotre article donne envie de lire ce livre.
Pikkendorff
Merci ! Je le met dans mon caddie...
RépondreSupprimer@ Ys: héhé... Quel chouchou cet Ellory!
RépondreSupprimer@ Emeraude: c'est, dans son genre, un livre réussi. Mais je ne suis pas un pro du thriller...
@ Marine Rose et Mir: bonne lecture!
@ pikkendorff: merci pour le lien.
je me laisserai volontiers tenter...
RépondreSupprimer@ Lystig: il ne faut pas hésiter, surtout en période de fêtes...
RépondreSupprimerTrès tentant ! Je le note, merci :-)
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