Chez Douglas KENNEDY, il y a toujours des personnages attachants, souvent incapables de trouver le bonheur, leur chute et ensuite leur lente remontée, grâce à une force insoupçonnée et à des alliés inattendus qui leur redonnent goût à la vie. Ces récits, forts en rebondissements, sont aussi prétextes à une critique virulente de l’Amérique d’aujourd’hui et d’hier. On se souviendra des Charmes discrets de la vie conjugale et de La Poursuite du bonheur qui nous avaient passionnés (et dont nous disons un mot ici). KENNEDY revient aujourd’hui avec Quitter le Monde.
C’est le personnage de Jane, jeune universitaire détentrice d’un doctorat en littérature à Harvard, qui souhaite quitter le monde après les nombreuses tragédies qui ont détruit sa vie : un père manipulateur, une mère culpabilisatrice, la perte de son amant, la trahison de son compagnon et surtout, la mort de sa petite fille. Et pourtant, malgré sa décision de tout quitter, elle remontera lentement à la surface. Histoire d’amour, tragédie, intrigue policière, KENNEDY mélange les genres et les univers, passant presque sans transition du monde universitaire à celui, impitoyable des traders. Haletant mais peut-être un peu décousu…
C’est le personnage de Jane, jeune universitaire détentrice d’un doctorat en littérature à Harvard, qui souhaite quitter le monde après les nombreuses tragédies qui ont détruit sa vie : un père manipulateur, une mère culpabilisatrice, la perte de son amant, la trahison de son compagnon et surtout, la mort de sa petite fille. Et pourtant, malgré sa décision de tout quitter, elle remontera lentement à la surface. Histoire d’amour, tragédie, intrigue policière, KENNEDY mélange les genres et les univers, passant presque sans transition du monde universitaire à celui, impitoyable des traders. Haletant mais peut-être un peu décousu…
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